C’est ma maison, c’est mon coeur

L’an prochain dans la Jérusalem reconstruite

Damian Katz a immigré en Israël en août dernier, avec l'assistance de la Fondation de l'Amitié, avec sa femme et leurs trois enfants, réalisant ainsi le rêve de ses ancêtres qui, pendant des années, invoquaient dans leurs prières ces mots : « L’an prochain dans la Jérusalem reconstruite ». À propos de la Fondation de l'Amitié, voici ce qu’il dit : « Je n'ai jamais connu une organisation dans laquelle les membres s’investissent aussi complètement et purement. »

« L'État d'Israël est la patrie du peuple juif. C’est ci que doivent vivre tous les juifs du monde. C'est chez nous, nous n'avons pas d'autre endroit. Nous pouvons essayer de vivre dans des lieux éloignés, être fascinés par d'autres cultures, mais en fin de compte, le cœur est ici, chez nous. » Damian Katz (34 ans) de Netanya prononce ce monologue, ému, d’un seul souffle, sans hésitation. Le sentiment qui vibre en lui depuis plusieurs mois, c’est qu'il est revenu à la maison, au but de l’aspiration de ses ancêtres.

Damian est arrivé en Israël, en août dernier, de Buenos Aires, en Argentine, avec sa femme Carolina et leurs trois enfants Emma (6 ans), Eitan (4 ans) et Natan (2 ans).  Bien que cela fasse des années qu'il prévoyait de réaliser ce déménagement, il a pris la décision un beau matin, ce qui a même surpris sa femme.  « Dans les films, lorsqu'une famille quitte un pays et déménage dans un autre, il y a une planification préliminaire. On attend que les parents aient un emploi, on achète une maison et alors on déménage, lorsque toutes les conditions environnantes sont mures », explique Damian. « Dans le film de notre vie, la réalité était tout autre. Je viens d'une famille dans laquelle, depuis très nombreuses années, tous rêvent de venir en Israël, mais la vie est souvent plus forte que les désirs.  Je savais que pour moi cela se passerait autrement et depuis plusieurs années, chez nous, le sujet de l'aliyah « flottait dans l'air ».  Ma femme et moi, nous avons beaucoup discuté sur le timing parfait, mais un matin je me suis réveillé avec la conscience d’une chose claire - si je continue à attendre, à la fin rien n’arrivera. J'ai dit à ma femme - viens, nous faisons notre aliyah.  Et il en fut ainsi.  Nous avons commencé le processus des permis et, en rien de temps, nous arrivions déjà ensemble, avec les enfants, pour construire une nouvelle vie en Israël. »

La Fondation de l'Amitié a intensifié le sentiment de se trouver chez soi.  «Je n'ai jamais connu une organisation dans laquelle les membres s’investissent aussi complètement et purement et veulent aider de tout leur cœur », déclare Damian. « En plus de son assistance pour le processus de l'immigration lui-même, le personnel de la fondation restait en contact avec nous par téléphone, il se préoccupait de notre bien-être, il était attentif à tous nos besoins physiques et émotionnels, il nous a aidé à acheter des produits ménagers et nous avions en général le sentiment qu’ils se souciaient tellement de nous qu'ils sont devenus comme de la famille. »

Damien et sa famille ont atterri en Israël au plus fort de la crise du coronavirus, mais cela n'a pas assombri la joie et l'émotion.  « Le corona fera partie du film de vie de tous ceux qui vivent à l'époque actuelle », affirme Damien. « Ce n’est pas comme si nous étions restés à Buenos Aires, le corona nous aurait épargné. Au contraire. Quand nous sommes descendus de l'avion, j’ai ressenti le calme et une grande joie. Je savais que mes enfants étaient beaucoup plus en sécurité, que le système de santé prendrait soin de nous si nécessaire, que les enfants auraient une meilleure éducation qu'en Argentine, que nous allions réussir à surmonter toutes les difficultés du début et à nous construire ici une vie meilleure. »

Les défis du coronavirus, bien sûr, n’ont pas non plus épargné la famille Katz.  « À notre arrivée en Israël, on nous a mis pendant deux semaines en l'isolement. Ensuite, les enfants sont allés dans des écoles et des jardins d'enfants pendant quelques jours, et alors le confinement a été imposé. C'était très complexe, mais je n'arrête pas de dire - la vie, c’est tout un film, pas des images individuelles. Alors dans l’image spécifique de l’intégration, c’était un peu difficile à cause des contraintes du corona, mais pour nous ce prix en valait la peine et de toute façon il est préférable de passer cette période en Israël et pas en Argentine. »

Damian a laissé à Buenos Aires beaucoup de famille et d'amis très proches. « Il y a un proverbe qui dit : J’ai la nostalgie, mais je n’ai pas la folie », dit-il. « C'est exactement la situation. Chacun, nous nous languissons, nous sommes des êtres humains avec des sentiments et toute une vie que nous avons laissés derrière nous, mais venir en Israël, pour nous, c’est notre nous-mêmes. C'est se sentir comme nés à nouveau, c'est faire partie intégrante de la chaîne du peuple juif, être attachés à nos valeurs et à nos racines les plus profondes. Et cela, rien ne peut le remplacer, dans aucun autre pays au monde. »

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